Le monde de la créa regorge de termes techniques issus de différents univers pouvant prêter certaines fois à sourire par la poésie qu’ils donnent à nos échanges ou à la bouffonnerie tant cela ne semble pas très professionnel.
Laissez-vous séduire par ce vocabulaire imagé et si vous avez un doute ou pensez mal interpréter une proposition, appellez-nous au 02 41 63 27 35 |
| Mot ou expression recherchée : |
Formats standard communément utilisés dans l'impression :
• A0 : format poster = 84,1 x 118,9cm.
• A1 : 59,4 x 84,1cm.
• A2 : 42 x 59,4cm.
• A3 : 29,7 x 42cm.
• A4 : format standard papier bureautique : 21 x 29,7cm.
• A5 : 14,8 x 21cm.
• A6 : 10,5 x 14,8cm. |
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Accroche-porte ou cravate de porte |
Flyer qui s’accroche aux poignets et même aux rétroviseurs pour les loueurs de voiture. |
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Méthode de reliure qui permet d’assembler les pages à l’aide de piqûres à cheval. |
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C’est un panneau publicitaire imprimé en polypropène alvéolaire. Il est idéal pour les panneaux immobiliers. |
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Assemblage de plusieurs fichiers, pour une seule et même impression. Cette technique permet de réduire les coûts en optimisant la surface d’impression. |
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Surface totalement uniforme, c’est-à-dire d’une seule et même couleur sans nuance, ni «pétouille». |
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Mise en ordre des pages afin de reconstituer le document (par exemple une brochure) avant la finition (par exemple le brochage). |
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Stickers et adhésifs sont des membres de cette grande famille. Ce sont des outils de communication équipés d’une face adhésive. Elle leur permet d’être positionnés sur différentes surfaces. |
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Papier composé de plusieurs feuillets, appelés également papier carbone. Il est généralement utilisé pour des carnets autocopiants. Ce papier permet lorsqu’on écrit sur la première feuille, la retranscription instantanée sur la feuille du dessous. |
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Communément utilisée pour réaliser de grandes surfaces d’impression pour l’extérieur ou l’intérieure nécessitant un matériau solide, anti-feu (M1 ignifugée) ou anti-vent (microperforée). |
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Lettre écrite en caractère minuscule. |
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Le drapeau de plage est un support évènementiel de signalétique. Synonyme d’oriflamme, il est composé d’un drapeau, d’un mât et d’une embase (pied). |
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Le terme définit l’utilisation de seulement deux couleurs pour l’impression de divers fichiers. |
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C’est une image en format matriciel. Le BMP est lisible de tous les éditeurs d’images. |
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Utilisé sur les supports transparents pour ne pas dénaturer les couleurs désirées. Il remplace le blanc donné par le papier. |
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Contrairement au BAT qui est lui est numérique, le bon à rouler est un «premier jet» fait sur l’imprimante. Il doit être validé par le client et sert de contrôle qualité durant l’impression. |
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C’est un fichier de type numérique. Il est utilisé pour le lancement d’une impression pour le client. C’est un accord par don d’une signature numérique par le demandeur d’impression. Il est souvent envoyé par mail avec la mention «bon à tirer». |
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Marge intérieure dans laquelle il ne faut rien inscrire pour éviter qu'à la découpe ou au pliage des informations importantes comme les textes ou logo ne disparaissent |
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Egalement appelé débord, permet d’éviter l’apparition d’un liseré blanc autour de l’imprimé. Il est donc conseillé de prolonger son visuel jusqu’au bord perdu lorsque l’on souhaite imprimer un document jusqu’au bord de la feuille. |
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Ou reliure. Les différentes feuilles sont reliées entre elles, selon différentes techniques (spirale, dos carré collé, etc.). |
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Ouvrage dont la couverture est solidaire des feuillets qui la composent, grâce à la reliure choisie (spirale, agrafe). |
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Préparation de la machine avant toute impression. |
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Désigne les lettres et les symboles d’un texte. |
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Ou carton d’invitation. C’est un petit format qui permet d’envoyer des messages de remerciements ou de transmettre des salutations. |
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Matériau composite avec un noyau rigide (polyuréthane ou polystyrène). Il est protégé en surface par deux feuilles de papier ou du PVC. |
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Document réunissant des codes graphiques qui représentent l’image de l’entreprise. Elle définit l’utilisation des éléments graphiques de l’entreprise (typographie, logo, baseline, etc.). |
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Désigne la différence de taille qu’il peut y avoir après le passage au massicot entre la première feuille et la dernière feuille de la pile. |
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cyan, magenta, jaune, noir : en anglais CMYK. Les trois couleurs primaires accompagnées du noir permettent une impression dite en quadrichromie. |
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Représente les données numériques d’une carte ou d’un produit. Il est constitué de barres et d’espaces, qui varient selon les données. |
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Elle identifie et mesure les couleurs. |
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Il s’agit de coller un support adhésif, sur un autre plus solide, comme le carton ou l’Alupanel. |
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Il s’agit, en imprimerie, du Cyan, du Magenta et du Jaune. En ajoutant le Noir on obtient le mode colorimétrique CMJN. |
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Impression d'un produit sans ajouter de finition. Par exemple, l’impression d’une nappe en coupe franche signifie que cette dernière n’a pas d’ourlets. |
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Il définit en réalité un document représentant la couleur souhaitée. Il sert de bon à tirer et de contrôler la couleur pour l’impression. |
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Type de découpe utilisé pour les supports adhésifs. Une découpe est réalisée de façon à ne pas entamer la pellicule de protection. Elle permet de décoller les adhésifs plus facilement de la planche. |
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texte, image ou logo en blanc sur une surface foncée. |
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transition progressive entre les teintes d’une même couleur ou entre des couleurs différentes. |
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Ce terme définit le fait de séparer des formes d’un fond d’image. |
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Matériau composite dont la structure «sandwich» thermolie deux plaques d’aluminium. |
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Adhésif sur lequel une résine en polyuréthane est coulée lors de l’impression. Après le séchage, ce sticker est en forme de dôme. |
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Elle consiste à incruster à chaud, sur une impression, une feuille d’or, d’argent ou de couleur métallisée pour faire ressortir un texte ou une image. |
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Technique permettant l’assemblage de page afin de composer livre. La reliure est réalisée par le biais d’une colle. La couverture doit obligatoirement être de fort grammage (donc rigide). |
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Reliure utilisée pour les blocs-notes ou les liasses autocopiantes. Il s’agit d’une colle particulière puisqu’il peut être détaché. |
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Résolution donnée lors de la création d’un visuel. Elle est exprimée en nombre de pixels. En français cela signifie «point par pouce». |
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Consiste à insérer dans un document, un autre fichier imprimé. Un petit livret dans un magazine par exemple, ou une feuille dans un rapport. |
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A la tête d’un magasin pour afficher le nom de l’entreprise, permettant une visibilité longue distance. |
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Synonyme du bon à tirer (BAT). L’épreuve est le document finalisé présenté au client avant impression. |
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Désigne le nombre de reproductions d’un document. |
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Regroupe les dernières manipulations après-impression comme le pliage, la découpe, le brochage, l’encartage, etc. C’est de la mise en forme. |
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Nombre de feuilles imprimées en plus du nombre désiré par le client, permettant d’assurer une quantité exacte après les finitions. |
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Dans la plupart des cas, il s’agit d’une feuille reprenant les réglages de composition d’un texte ou d’une page. Ainsi, ces paramètres sont appliqués à toutes les pages. |
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Désigne les pages qui se trouvent dans les carnets autocopiants. Les feuillets sont des petites feuilles très fines. |
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ensemble des traitements qui s’ajoute à l’impression classique. Il peut s’agir de vernis sélectif, de dorure à chaud ou de gaufrage par exemple. |
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Prospectus, ou petites affiches, qui sont utilisés pour le tractage ou pour faire de la publicité. |
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Désigne les numéros de page des documents. Le foliotage est la numérotation. |
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Couleur ou illustration qui déborde du fichier. Il accompagne le bord perdu dans la sécurité d’impression du document. |
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Surface faite en deux points de trame. Cette surface peut être unie de noir ou de couleur, détenir une ou plusieurs couches d’encre ou être en dégradé. |
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Définit clairement les dimensions d’un document. Cela peut être un format ouvert ou fermé. Les formats sont généralement indiqués en commençant par la mesure horizontale, puis la verticale (largeur x hauteur). |
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Orientation horizontale du document. Il peut aussi être appelé «format à l’italienne». |
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Orientation verticale d’un document. Il est aussi appelé «format à la française». |
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Elle est utilisée lorsque le document ne peut pas être découpé au massicot, c’est-à-dire en ligne droite. Il sera alors découpé selon une forme personnalisée ronde, cœur, etc. |
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Mise en page constante. C’est un fichier de tracés qui facilite l’impression et/ou la mise en œuvre d’un document. Il est fourni au client afin de matérialiser la taille, les bords perdus, les bords de sécurité ou encore la zone inexploitable. |
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Consiste à repousser le papier pour faire ressortir du texte ou une image. Cela donne du relief au produit imprimé. |
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Terme utilisé pour parler du poids au mètre carré d’une feuille. |
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Se dit d’un texte qui épouse les bords d’une illustration. |
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Définit en imprimerie les repères qui facilitent le repérage sur un document. Elles doivent être superposées pour permettre un contrôle exact. Elles sont aussi appelées repères de coupes ou croix de repérage. |
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Réduire ou d’agrandir une image sans changer son rapport hauteur/largeur. C’est un agrandissement et/ou réduction proportionnels au document original. |
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Format de sauvegarde d’une image sur ordinateur. Il permet de moyenner la perte de qualité du fichier. |
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Elément de signalétique (display) qui est vertical. Il est composé d’une structure permettant de le dérouler et de le faire tenir droit avec des accroches par le haut. Il est également appelé Roll’up. |
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Traces d’encre qui arrivent avec le frottement, quand les feuilles de papiers se chevauchent. C’est pour éviter cela qu’il y a un temps de séchage des imprimés. |
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Rapport entre l'épaisseur d'un papier et son grammage, c’est sa rigidité. Plus un papier est lourd, plus sa main est importante. |
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Ce terme désigne une opération qui consiste à fixer un papier sur un support plus rigide, avec une colle très forte appelée maroufle. Elle durcit au séchage et vient renforcer le support fixé. |
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Machine qui effectue la coupe des documents. |
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Mise en place une maquette, pour constituer un document prêt à être imprimé. Dernière étape avant l'impression |
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Niveau de gris : Il va varier du noir au blanc. C’est la densité des couleurs qui va changer. Pour une image numérique, nous parlons de luminosité d’un pixel. |
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Il s’agit de la couleur noire sur un document, mais un noir intense et profond. Il est soutenu par des valeurs de CMJ (cyan, magenta, jaune). |
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Outil d’infographie sur lequel se trouvent toutes les teintes de couleurs. C’est un catalogue visuel qui définit un ensemble de couleurs. |
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Procédé d'impression qui est une amélioration de son ancêtre, la lithographie, par le remplacement de la pierre lithographique par une plaque cintrable, adaptée à un cylindre, et l'ajout d'un blanchet autour d'un cylindre porte-blanchet (ou cylindre offset), entre le cylindre porte-plaque et le papier. |
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Désigne la face d’une feuille (une feuille = 2 pages = 1 recto + 1 verso) |
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Marque et nuancier universelle qui regroupe 992 couleurs. Chaque couleur a le même code, pour tous (imprimeur ou client), ainsi il garantit une fidélité du résultat final. |
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La publication assistée par ordinateur regroupe les procédés qui permettent de créer un visuel ou document quelconque. Ainsi la PAO regroupe les logiciels graphiques, comme Illustrator, Indesign etc. |
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Support d’impression par défaut de l’imprimerie traditionnelle. Il existe plusieurs types de papier : couché brillant, couché mat, offset, recyclé, PEFC, etc. Ainsi que différentes qualités et marques. |
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Le Portable Document Format est un langage pour décrire le format d’un document à la sauvegarde. Il est très apprécié dans le monde de l’imprimerie car il préserve la mise en page, les polices, les symboles, etc. Pour un envoi de fichier ou de visuel, c’est ce que tout imprimeur vous conseillera. |
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Film plastique déposé sur les produits lors de l’impression. Il vient protéger et embellir l’imprimé. Ce film peut être mat, brillant ou soft touch. Cette dépose est effectuée à l’aide d’une pelliculeuse |
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Réalisation de trous sur les imprimés afin de pouvoir les insérer dans un classeur, par exemple, ou d’accrocher son badge à un tour de cou. |
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Définit les petits défauts (poussières ou tâches) qui viennent s’incruster sur un document imprimé. |
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Décor imprimé devant lequel des participants d’un salon ou autre évènement seront pris en photo. C’est un outil de communication visuelle. |
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Px est une unité qui permet de mesurer la définition d’une image numérique. |
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Document ou un ensemble de documents apposés sur une même feuille pour ensuite être imprimé de façon à optimiser la surface d'impression. |
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Ou laminage, il s’agit de déposer une pellicule transparente adhésive. Il peut donner différentes finitions au produit : mat, brillant ou soft touch. La plastification permet d’augmenter la durée de vie du produit. |
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Désigne le pliage d’un document en forme de M. |
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Pli central ou pli simple |
Pliage au milieu d’une page |
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Pliage particulier qui laisse entrevoir une partie du document. Il s’agit, par exemple, de plier une feuille A4 en laissant dépasser 1/3 de la feuille. |
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Le document est représenté comme une véritable fenêtre. C’est-à-dire que les côtés droits et gauches, du document, sont repliés vers le centre de manière égale. |
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Il permet un pliage parallèle de type fenêtre, grâce auquel les deux feuilles extérieures peuvent se replier vers le milieu (pli central).C’est-à-dire qu’il s’agit d’un pli central ajouté à un pli fenêtre. |
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C’est un pliage qui permet aux différentes pages de fermer un document en se superposant. Il est réalisé en pliant la feuille au 1/3 du document puis au 2/3. |
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Les pliages sont réalisés perpendiculairement. |
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Signifie «publicité sur lieu de vente» PLV et définit l'ensemble des supports publicitaires présentés sur un point de vente. |
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Ou police de caractères, c’est un synonyme de typographie. Elle définit le style du texte. |
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Impression de plusieurs couleurs sur un même document. Cette impression est définie à partir de tons directs. |
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Etapes avant l’impression comme les opérations graphiques, de conception ou d’imposition. |
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Cette prise permet au document d’être tenu dans la machine pendant l’impression. Le terme désigne la marge non-imprimable qui se situe sur la largeur. |
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Mode colorimétrique CMJN (cyan, magenta, jaune, noir), très utilisée en imprimerie. |
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Utilisé sur les grammages supérieurs à 170g/m² pour permettre un pliage du papier sans aucune cassure des fibres de ce dernier. |
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Unité quantitative du papier par paquet. |
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Côté face d’une feuille ou autrement appelée la première face. |
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Terme est utilisé pour les stickers. Il désigne le fait de défaire plus facilement la pellicule de protection de l’adhésif. |
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Technique d'assemblage pour les documents de type livrets ou magazines. Les reliures peuvent être entre autre en spirale, dos carré collé ou agrafé deux points métal. |
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Ensemble des techniques qui permettent de placer la feuille de papier sous la presse, pour chaque passage d’une couleur. La superposition assure le repérage. |
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Action d’imprimer à nouveau sur une feuille déjà passée à l’impression. C’est une impression complémentaire. |
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Rapport entre la définition et la taille réelle d’une image. Elle doit être respectée pour une impression en haute qualité. Sa valeur s’exprime en DPI. |
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Désigne les pages plus courtes et moins épaisses qui se trouvent à l’intérieur d’un magazine par exemple. C’est un phénomène qui se déroule, lors de la reliure, quand la couverture est plus épaisse que l’intérieur. |
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Outil de signalétique salon qui prend la forme d’un kakémono. C’est un visuel imprimé qui tient sur une structure portante appelée enrouleur. |
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Rouge, vert, bleu. Ce sont les couleurs premières utilisées par les ordinateurs (et toute source lumineuse). Le RVB est utilisé pour une image diffusée sur le web. Ce mode est non préconisé pour une impression, dans la majorité des cas il sera converti en CMJN. |
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Technique d’impression qui peut s’appliquer à divers documents. C’est un peu la même chose qu’un pochoir sauf que la couleur passe «au travers d’un écran», l’encre se dépose en suivant les formes ouvertes sur l’écran. |
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Système de reliure très utilisée. Elle représente des petits anneaux successifs sur la tranche du document. La marque communément utilisée est le WIRE-O. |
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Ou «mur d’image visuel». Il prend ce nom, car il se plie et se déplie comme un lit parapluie. Ce support permet d’exposer à la verticale un visuel à la façon d’un fond de scène. |
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Terme général qui définit la matière utilisée pour imprimer un document. Le papier ou le PVC sont des supports. |
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ou teintes directes, ici les couleurs Pantone® sont directement utilisées, on ne passe pas par le CMJN. Pantone® regroupe 992 couleurs. |
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Nécessaires lors de la coupe au massicot. Ce sont les repères permettant de savoir comment couper le document. |
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Définit le tracé d’un logo ou d’une image. C’est une forme composée de points (modifiables). Le vectoriel permet de modifier sans dégrader l’image. |
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Transformation d’une image en mode point en une image vectorielle. La vectorisation permet d’imprimer un fichier en haute définition. |
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Il vient mettre en surbrillance des éléments du fichier imprimé (textes importants, par exemple). C’est le vernis qui se sent le moins au toucher, il est aussi appelé vernis 2D. |
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Contraire du recto. Il s’agit de la «face arrière» d’une feuille. |
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Souvent utilisé pour les stickers, la vitrophanie permet de coller un support à l’intérieur d’une vitre pour être visible depuis l’extérieur. |
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Désigne le panneau d’un dépliant. Le nombre de volets est défini par le type de plis du document (par exemple : un dépliant avec pli portefeuille a trois volets). |
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Zone du document dans laquelle il ne faut pas placer de texte, car cette partie ne sera pas visible. |
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Synonyme d’une zone neutre. C’est un endroit sur le visuel, en bordure du document, où il est conseillé de ne pas placer de texte ou d’élément graphique important. C’est un bord de sécurité à respecter pour une impression. |
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